Demon's Souls RP
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 [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public

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Canarchy
Tueur de Gobelins Géants
Canarchy


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MessageSujet: [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public   [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public Icon_minitimeDim 23 Jan - 12:37

[Debut de matinée, ~10h]

Canarchy avançait d'un pas determiné et s'était dirigé vers la Place de la ville, l'endroit où ses victimes étaient rassemblées en masse. il marchais proche des murs, sa tête soigneusement couverte par sa capuche, tachant d'éviter d'attirer l'attention. Il devait arrêter net les vociféracions de ces crieurs publics prêt à chanter les louanges des Gardiens et il allait leur donner sa partition personnelle, si bien que l'on entendrait uniquement parler de meurtres et de société secrète.

L'Assassin frissona à cette idée, s'il pouvait faire d'une pierre deux coup en nuisant à la notoriété des Gardiens aux profits de celles des Assassins, cela pourraient leur être profitable en vue d'une prise de puissance future. Il s'était preparé avec beaucoup de précautions et cachait sous sa cape son attirail habituel et quelques objets achetés au marché. Il avait ses deux épées d'acier attachées à sa ceinture, ses griffes fixés au niveau des poignets pour plus d'efficacité et de discrétion, son talisman autour du cou et à son côté droit à côté de son épée, sa nouvelle dague empoisonné était prête à être degainer.

En plus de cela, il disposait d'une quinzaine de couteaux de lancer, trois pièges explosifs, un empoisonné, un sachet d'allumettes, un onguent à base d'herbe de la Lune Noire en cas de coup dur, une dose de morphine, une fiole de poison léger, cinq bombes fumigènes et cinq bombes poivrées.

Il était un peu chargé mais avait reussi à fixer une partie des bombes à l'arrière de sa ceinture et au niveau de ses bottes, et les couteaux de lancer tenaient sur des lanières en cuir rattachées à son torse pour une efficacité optimale.

Canarchy était donc fin prêt à en découdre et ruiner la réputation des Gardiens comme on le lui avait demandé, peu importe les conséquences, il devait rester discret et effectuer des frappes chirurgicales.

Il continua de marcher et se mêla à la foule, jetant un rapide coup d'oeil sur la carte résumant les positions des crieurs qu'on lui avait remis avant de la ranger rapidement. L'Assassin marchais, caché parmis la population et entendait déjà la voix grave d'un de ces hommes.


- ... ils assurent notre protection, et leur echoppe proposent des prix défiants toutes concurrence, madame, je vous le dis : les Gardiens sont les protecteurs, que dis-je, les bienfaiseurs de Boletaria dans une époque bien sombre, sans compter que...

Canarchy arrêta d'écouter et se joignis à la foule planté devant l'homme qui continuait de les abrever de sa "bonne parole". Il était planté sur une sorte de petit echafaud et une confrontation directe aurait été directement remarqué, aussi l'assassin se concentra donc sur la manière de l'éliminer sans attirer l'attention. Il recula un peu et sortit son sachet d'allumettes et repera un tas de paille non loin du regroupement, proche d'un mur. Tout en restant proche de la foule, il gratta la roche et après quelques essais infructueux, le bout de bois s'embrasa et il le deposa rapidement au centre du tas de paille, avant de rejoindre rapidement la foule massé devant l'orateur. Il attendit quelques secondes et, aidé par le vent, une légere fumée monta et quelques flammes naquirent dans la foulée.

Les badauds, effrayés poussaient déjà des cris et des femmes couraient à la recherche de liquide pour éviter la croissance et la propagation du feu. La foule se dissipait et le crieur hésita quelques instant en regardant les flammes doubler d'intensité avant de quitter son poste en marchant rapidement et en éloignant les passant de gestes de la main. L'Assassin se mis en chasse et ne lâcha pas l'homme des yeux, tâchant de le suivre sans le perdre au milieu de la foule. Il était proche de sa cible et avant d'un air menaçant sur le crieur qui ne se doutait de rien, la rue était fréquentée à cette heure et des passants se bousculaient et les premiers sceaux d'eaux arrivaient déjà d'après ce que Canarchy observait.

Un homme portant du bois se mis devant lui et il perdit brievement le contact visuel avec le héraut avant de l'apercevoir de nouveau. Il décida d'agir sur un coup de tête, comme à son habitude. Il donna un violent coup d'épaule à l'homme qui marchait devant lui et qui ne se doutait de rien, et celui-ci tomba avec fracas, libérant ainsi ses buches qui roulèrent sur le sol. Le Crieur se retourna, surpris par tant de bruit et l'assassin marcha hativement vers lui, passa sa main droite sous sa cape, bouscula l'homme tout en tirant sa dague et en la plantant dans l'estomac du héraut. Celui-ci ouvrit grand la bouche mais aucun son n'en sortit.

Canarchy retira son arme et repris sa route, les citoyens aux alentours étaient trop occupées à ramener des sceaux d'eau et à s'occuper de l'homme qui était tombé et ne préterent que peu d'attention au Crieur, qui, la main sur le ventre, gemissait de douleur, le poison ravageant ses organes. Ce n'est qu'une minutes après, quand l'homme tomba dans un râle d'agonie que la foule se massa autour de lui, ne comprenant pas ce qu'il s'était passé.

L'Assassin était déjà loin et s'était arrêter dans une ruelle plus loin pour se cacher. Il sourit et jugea que les choses s'étaient plutôt bien passées jusque là et qu'il avait eu de la chance de ne croiser encore aucun garde, chose qui ne durerait pas... Il prit soin de se mettre à l'abri des regards et se prepara une pipe d'herbe bien mérités pour approcher ses prochains meurtres avec plus de sang-froid.



Dernière édition par Canarchy le Jeu 10 Fév - 11:29, édité 1 fois
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Canarchy
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MessageSujet: Re: [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public   [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public Icon_minitimeMer 2 Fév - 12:23

[Matinée, ~10h45]

Après sa petite pause, Canarchy se remis en marche, l'esprit légèrement embrumé mais beaucoup plus calme. Il croisa une patrouille de gardes qui semblait se rendre sur le lieu de son premier forfait mais ils ne firent nullement attention à lui et il passa devant eux l'air de rien, affichant un sourire ravi. Il devrait néanmoins se méfier car il risquait de croiser plus de patrouilles à l'avenir. Il décida d'être plus efficace lors de ses prochains meurtres. Il lui semblait plus prudent de monter sur les toits pour ce faire.

L'Assassin aggripa le haut d'une fenêtre et se hissa dessus, posant ses pieds sur la base et se redressant ensuite pour pouvoir sauter et attraper le toit. Malgré l'effet de l'herbe, il demeurait extremement agile et se redressa sur le sommet du bâtiment. Il jeta un bref coup d'oeil à la carte et se mis à courir en direction de sa prochaine cible. Quelques secondes plus tard, il aperçut un homme en train de s'égousiller, il s'approcha et écouta un peu son discours...


- ... ils frappent dans l'ombre et essayent de nous voler nos biens, ils mettent en danger notre sécurité, je vous le dis mesdames et messieurs, ces assassins sont pires que la peste, c'est une gangrène qui etouffe notre pays ! Montrons nous ferme et debusquons les, offrons leurs le châtiment qu'ils méritent ! ...

Voila donc ce que les hérauts voulaient faire avaler à la population ? Il était temps de couper court à ces racontards et leur donner un réel aperçu de ce qu'il en était. Il porta une main sous sa cape et en sortit trois couteaux de lancer. Canarchy ouvrit grand les yeux avant de les etrecir afin de mieux viser, il n'était pas question de laisser le temps à l'annonceur de s'échapper. Il lança avec force le premier couteau, puis le second et enfin le troisième. Les lames sifflèrent contre la force du vent et la première s'écrasa lourdement dans l'édifice en bois ou le crieur était situé, celui-ci regarda le couteau avant d'écarquiller les yeux : les autres armes de jets venaient de s'enfoncer dans son crâne et sa poitrine, à l'emplacement du coeur. L'Assassin afficha un sourire ravi et se dirigeait déjà vers sa prochaine victime quand les gens regardèrent vers les toits, ne voyant nulle trace d'un eventuel aggresseur.

Il sprinta sur les toits pendant quelques temps avant d'apercevoir le prochain echauffaud en bois, sur lequel une femme criait encore, vantant les vertus des gardiens et les méfaits des assassins. Cela ne serait bientôt plus le cas. Il rampa lentement, craignant d'être repéré par la foule et arriva finalement sur le toit au-dessus de sa proie. Il enfouit une main dans sa cape et en ressortit une bombe fumigène, l'objet parfait pour son prochain crime : il la lança et attendit environ cinq seconde pendant lesquelles il analysa la position de sa cible. Il s'élança ensuite, la bombe explosa, des cris retentirent mais c'était trop tard, il avait fendu l'air jusqu'à la crieuse et celle-ci s'effondra sous le poid de l'assassin. Ses griffes avaient parfaitement entamées sa gorge et elle mourut sur le coup. Il courut rapidement en direction d'une rue fréquentée pour se mêler à la foule, le temps que la fumée se dissipe, il était déjà loin...

Canarchy avait des sueurs froide, l'effet de l'herbe devait y contribuer mais il n'était plus tranquille lorsqu'il voyait des gardes. Il traça sa route en étant mélangé à la foule et ne se fit remarquer par personne. Il entrevit le prochain héraut qui, comme ses semblables, déblaterait des stupidités sur les gardiens et les assassins. Il était vraiment temps de les faire taire, et c'est bien pour ça qu'il était là. Il arriva au niveau de la foule et écouta de nouveau les âneries de l'homme. Il se dirigea vers la scène et glissa quelques mots au héraut.


- Voila quelques un peu de monnaie, tu diras à tout le monde que les assassins sont un modèle à suivre pour tout le monde...

- Mais enfin Messire, je ne peux pas, lui répondit le crieur en tendant des mains avides vers la bourse que tendait l'assassin.

- C'est dommage.

L'épée de Canarchy perça le ventre de l'homme plus facilement qu'il ne l'aurait cru, et il la degagea d'un geste vif avant de prendre la fuite pendant que les cris des badauds retentissaient dans la ville.

- Un Assassin !

- Gaaaaaaaaardes !

- Attrapez-le !

- A mort les assassins !

- Choppe-le !

Il courut jusqu'à en perdre haleine avant de se cacher dans une ruelle et de souffler. Il avait joué gros sur ce coup mais c'était tellement amusant ainsi. La population se souviendrait de ça et les rumeurs sur la guilde seront plus présentes, c'était une bonne chose, il faisait d'une pierre deux coups. Il monta de nouveau sur les toits pour accomplir sa prochaine tâche. Il regarda attentivement la carte et repartis de plus belle, prêt à frapper. Arrivé à destination, il jeta un regard en bas et vis sa prochaine victime, semblable aux autres, attendant la mort patiemment tout en continua de vociférer. Il frémit et saisit un piège explosif qu'il gardait. Il se plaça au-dessus de sa victime et lança la charge. L'explosion ne se fit pas attendre et le cadavre du héraut gisait piteusement sur l'estrade, quelques civils y étaient passés par la même occasion. Rien de bien grave en sommes. Il s'adossa à une cheminée environante et se bourra une pipe bien méritée.

Cinq crieurs avaient été éliminés, la moitié du travail bouclée avant de passer à autre chose. Il tira une première bouffée et ferma les yeux sous le soleil du midi, détendu...

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MessageSujet: Re: [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public   [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public Icon_minitimeJeu 10 Fév - 12:20

[Midi, ~12h15]

L'Assassin tira les dernières bouffées sur sa pipe et se releva afin de se remettre en route, après avoir soigneusement analysé sa carte. Pendant qu'il fumait, il avait constaté que les patrouilles de gardes étaient plus présente et plus alarmées, semblant chercher sa trace, ses meurtres n'étaient pas passés inaperçus. De toutes façons, il n'avait plus le choix, il devait finir sa tâche. Il repartis donc sur les toits, prêt à en découdre.

Canarchy se mis à courir en faisant attention de ne pas être visible depuis la rue. Son attention fut attiré par la présence d'autres personnes sur les toits au loin, et il reconnut l'uniforme des gardes : des archers, ça n'allait pas lui faciliter le travail, mais il faudrait faire avec. Il vit enfin la scène de bois sur laquelle reposait sa prochaine cible, toujours en train de bourrer les cerveaux crédules d'imbécilités sans noms.


- ... les gardiens nous sauverons, ils ne laisserons pas ces méfaits impunis, et même si l'on ne connaît pas les coupables, ils les trouverons et on mettra leurs têtes sur une pique à l'entrée de la ville, que les gens sâchent quel sort on reserve aux assassins !

Sa ruse avait fonctionné, les éloges envers les gardiens ne les aideraient pas, ils devront se contenter de subir leur triste sort et de constater qui avait vraiment la main mise sur la ville. Bientôt, ils n'auront plus que leurs yeux pour pleurer, et les crieurs public sauront à quoi s'en tenir, enfin du moins, il l'esperait, le peuple trouve toujours un moyen de se réfugier derrière une entité supérieure. Le moment venu, ils accepteront les assassins... De gré ou de force.

Il sorti un couteau de lancer et sa fiole de poison léger. La mort tarderais un peu à frapper, mais ça n'en serait que plus amusant ! Il mis l'extremité de la lame au bord de la fiole avant d'incliner celle-ci afin que la lame puisse s'impregner du poison. Une fois cela fait, il souffla un grand coup et lança l'arme en direction de sa cible qui devait être à une centaine de mètres de lui. Le couteau fendit l'air et alla se planter dans la cuisse du crieur qui emis un gemissement de douleur. Il retira la lame et la jeta dedaigneusement.

Canarchy se cacha derrière une cheminée et se mit à attendre... Tout les regards convergeait vers les toits mais personne ne vu rien. Le héraut repris la parole :


- Regardez cette bande de lâches, ils nous attaquent alors que nous sommes sans défense, mais ils ne peuvent faire taire notre arme : la parole ! Bientôt, toute la ville saura que ces bons à rien ne peuvent même pas tuer un homme à découvert, hahaha ! Les Gardiens nous debarasserons de cette vermine, faites moi confiance mes amis ! Et s'ils ne peuvent pas tuer un pauvre homme desarmé alors il ne pourrons pas...

L'homme s'arrêta et l'assassin risqua un coup d'oeil : le crieur s'étraignait la poitrine et avait les yeux fermés, le spectacle allait pouvoir commencer ! Sa victime cracha du sang, d'abord un peu puis de plus en plus, il ne disait plus rien, avait le regard perdu dans le vague. La foule se pressa d'aller l'aider mais ils ne comprirent que trop tard, le destin de l'homme était scellé.

Canarchy repartis en courant sur les toits, satisfait de ce qu'il avait accomplis et pris la direction de son prochain crime. Alors qu'il avançait à bon rythme, un archer sortit de derrière une cheminée et se dressa devant lui, l'arc bandé et prêt à faire feu. Il lui dit :

- Alors ainsi c'est toi qui crée toute cette pagaille en ville. Tu ne m'echapperas pas, j'ai tout vu et j'ai attendu le bon moment pour frapper, j'imagine que c'est aussi toi qui à fait le reste, nous avons pour ordre de capturer les auteurs de ces meurtres, ou sont tes complices ?

- J'agis seul, je n'ai besoin de personne pour m'aider, on ne ferait que me géner, huhu... lui répondit l'assassin

- Je ne suis pas convaincu, de toutes façons nous avons pour ordre de te capturer mort ou vif, donc je te condamne sur le champs à la peine maximale.

- Si on pouvait éviter le blabla et passer tout de suite à la sentence...

Le garde tenait toujours l'assassin en joue et il fut surpris de constater qu'il ne tentait rien. Lorsqu'il decocha sa flèche, Canarchy avait déjà sorti une de ses épée et dévia la trajectoire de l'arc en le poussant du plat de la lame, la flèche parti au loin et se planta sur l'un des toits voisins. Malgré cela, l'archer ne se laissa pas perturber et sortit lui aussi son épée et fonça sur son adversaire.

Les lames s'entrechoquèrent dans un grand bruit de métal, les deux hommes étaient campés sur leurs jambes et essayaient de se pousser l'un l'autre. Lorsque l'assassin attaqua avec sa seconde épée, le garde anticipa l'attaque qui se dirigeait vers ses chevilles et effectua un saut en arrière. Canarchy lui fonça dessus et donna deux coups à l'horizontale devant lui, l'homme recula pour esquiver. L'archer tenta un assaut avec un coup d'estoc que Canarchy esquiva avant de faucher les jambes de l'homme d'un balayage. Celui-ci tomba mais au lieu de rencontrer le sol dur du toit, il ne trouva que le vide, et, dans sa panique saisit la première chose qui lui passa sous la main : la cape de l'assassin.

Canarchy tomba avec l'homme, ils luttaient en l'air pour prendre le dessus et tombèrent dans la rue avec fracas. Le garde avait bien amortis la chute et il se releva quasi-instantanement et repartit rapidement. La foule avait poussé des cris et tout le monde l'évitait, si bien qu'il n'eut pas de problème pour avancer, les gens s'écartaient sur son chemin en posant d'abord un oeil sur le corps du garde puis sur l'assassin qui avançait calmement. Plus il avançait et moins les gens faisaient attention à lui et lorsqu'il arriva à l'echaffaud suivant, on ne faisait quasiment plus attention à lui.

Sans prendre le temps d'écouter les paroles de l'homme qui criait à plein poumon, il saisit sous sa cape une bombe poivrée et pris soin de remonter son masque d'assassin sous ses yeux et de rabaisser sa cape au niveau du masque, ainsi ses yeux seraient protégés en partie. Il lança la bombe au sol et la fumée commença à se répandre, on entendit peu après les premiers gemissement de douleur. Il se dirigeat vers l'estrade, pris sa dague et l'enfonça plusieurs fois dans l'estomac du héraut qui ne se doutait de rien et se frottait le yeux, avant de les ouvrir en grand et de tomber au sol agiter de convulsions.

Canarchy sprinta loin de là afin d'aller à la rencontre de sa prochaine cible. Une fois sorti du nuage, il rabaissa sa cape et son masque : cela avait peut-être réduit les effets de la bombe, mais ses yeux le piquait quand même, enfin c'était un maigre prix à payer et cela aurait pu être pire. Il reprit une allure plus normale et se mêla à la foule afin d'essayer d'éviter d'attirer trop l'attention.

Après plusieurs minutes de marche, il entrevit sa prochaine victime et marcha vers elle d'un pas décidé. Il y avait un regroupement devant l'homme et tous semblaient pendus à ses lèvres. L'Assassin commençait à en avoir assez de faire dans la dentelle pour ne pas être repérer : si tout le monde voulait écouter les crieurs, très bien, ils seraient témoins des risque de la profession et de l'utilité de bien tenir sa langue face aux assassins.

Il monta sur la scène et le héraut s'en etonna.


- Mais que faites-vous Monsieur ? Seriez-vous celui dont on parle ? dit-il en reculant

- Peut-être bien.

Sur ces mots, ils sortit rapidement ses deux épées, les fit tournoyer très brievement et les enfonça dans les pectoraux de l'homme. Il ressorti les lames et les leva avant de les abbatre rapidement, histoire de les debarasser du sang qui les recouvrait. La population pris la fuite en voyant cela et poussa des cris. Bondée une minute plus tôt, la place était desormais vide. Canarchy ria un bon coup et rangea ses armes, il tira sa carte de sa poche et repera les prochains emplacement.

- Ok, en route !

- Halte-là !

L'Assassin se figeat et regarda devant lui : une patrouille composée de cinq gardes se tenait face à lui. Forcement, c'était trop beau pour durer, se dit-il. Un des hommes tenait une lance, un autre une hallebarde, l'un avait une épée à deux mains tandis que les deux autres portaient de simples épées avec des boucliers. Bon, un peu d'exercice lui ferait du bien. Il degaina ses deux lames et fit face à ses nouveaux opposants.

- Qu'ai-je fais de mal ? lança-t-il d'un ton dédaigneux.

- Ne vous moquez pas de moi, on me reporte des crieurs publics morts sur toute la Place principale de la ville, et je vous vois regarder une carte avec un cadavre d'un d'eux à vos pieds. Vous n'allez pas vous en tirer comme ça mon gaillard !

Les soldats se mirent en garde. Canarchy frissonna. Un peu de rigolade en perspective, ça lui changerait des cibles incapables de se défendre...
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MessageSujet: Re: [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public   [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public Icon_minitimeDim 13 Fév - 11:57

[Après-midi, ~13h30]

Canarchy s’avança calmement droit devant lui, rangea ses épées dans leurs fourreaux et, comme il le pensait, il fut rapidement encerclé par les cinq hommes qui s’étaient mis en position de combat. L’hallebardier fonça le premier, l’assassin esquiva son attaque d’un pas de côté avant de se baisser et de rouler sur son côté droit, le soldat armé de l’épée qui chargeait Canarchy ne vis pas l’esquive arriver et se stoppa juste à temps, manquant de peu d’embrocher l’un de ses alliés.

L’Assassin, de nouveau debout, remarqua la scène et une idée se mit à germer dans son esprit, il pouvait les embrouiller pour retourner leur nombre contre eux. Il esquiva de peu la lance qui le ciblait d’un mouvement de hanches en avant, se retourna et attrapa le manche en bois de l’arme d’une main, et de l’autre assena un violent coup de griffe dans la tête du garde. Celui-ci cria brièvement, jusqu’au moment où Canarchy retira son arme du crâne de l’homme dans un bruit atroce d’os taillés.

Les autres gardes reculèrent en voyant l’assassin, le visage maculé de sang et dégainant ses épées, mais leurs regards se durcit et reprirent leurs esprits, une résolution nouvelle s’affichant dans leurs yeux. C’est donc ensemble qu’ils chargèrent cette fois sur le commandement de l’homme qui semblait diriger la troupe, il faisait parti des deux qui portaient une épée et un bouclier et avait une barbe noire coupée court. L’homme à la hallebarde, profitant de la portée de son arme frappa le premier de la pointe, Canarchy fit un rapide pas de côté et saisi le manche de l’arme avant qu’il ne revienne à son propriétaire, et campa soigneusement ses pieds au sol, usant de son poids pour faire pivoter le porteur de l’arme dans le garde épéiste qui se préparait à frapper dans le dos de l’assassin.

Les deux autres soldats se rapprochaient de Canarchy, il effectua un fauchage au sol avec sa jambe droite pour faire tomber le capitaine, et il roula en arrière pour éviter l’attaque de l’homme portant l’épée à deux mains qui avait profité de son impulsion pour abattre sa lame devant lui avec force. L’Assassin jeta un n’hésita pas et fonça sur le soldat qui tentait de soulever sa lame à nouveau pour frapper mais il n’en eut pas le temps, les épées de l’assassin étaient déjà enfoncées dans son estomac. Il les retira rapidement et les rengaina, sorti sa dague et donna un bref coup à l’homme pour s’assurer de sa mort. Les trois autres de nouveau sur pied tentèrent une attaque en triangle, Canarchy attendit son heure, et au moment où tous frappaient en direction de son cœur, il esquiva en se penchant la hallebarde qui arrivait la première il posa ses mains sur le garde qui tenait l’arme et sauta par-dessus en le projetant en arrière.

Les autres n’eurent pas le temps de régir, et c’est donc le capitaine et l’épéiste qui plantèrent leurs lames dans le torse de leur compagnon, qui ouvrit grand les yeux et semblait sur le point de mourir.


Le Capitaine, furieux, se tourna vers Canarchy, les yeux brillants.

- Pauvre fou ! Avez-vous idée de ce que vous faites ? Les gens de votre espèce n’ont donc point d’honneur ?

- Vous me parlez d’honneur en m’affrontant à cinq contre un ? Je ne sais pas ce qui me retient de rire… Vous les gardes vous essayer de maintenir un semblant de justice mais vous n’êtes pas assez efficaces. J’ai éliminé huit de vos crieurs et c’est maintenant que vous arrivez ? Elles sont belles les troupes d’élite de Boletaria, hahaha !

- Je n’en tolérerais pas davantage ! Drick, viens à côté de moi, nous allons venger notre troupe !

- A vos ordres, Capitaine.

- Je suis le Capitaine Duril, et je vais vous montrer comment nous faisons justice ici, à Boletaria.

- Amusant… Bien, je vais donc me prêter au jeu. Je suis Canarchy, du clan Soliduck, assassin de mon état. Et je vais vous montrer ce que je pense du concept de justice.

Les trois hommes se mirent en garde, les deux gardes étaient tout les deux armés de boucliers et d’épées. Canarchy n’aimait pas les boucliers, il avait toujours l’impression d’être confronté à des tortues et cela s’avérait souvent dangereux de créer des ouvertures. Il souffla un grand coup, degaina ses lames en les faisant tournoyer avec style et se campa fermement sur ses pieds.


- Venez si vous l’osez …

Les gardes chargèrent, boucliers en avant…
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MessageSujet: Re: [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public   [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public Icon_minitimeLun 14 Fév - 12:46

Canarchy n'eut que peu de temps pour réagir, et alors que les gardes fondaient sur lui, il donna un puissant coup d'épée de chaque main sur les boucliers des soldats qui, sous la force de l'impact, ne purent d'empêcher de reculer de quelques pas. L'Assassin pensait se servir de la confiance excessive des hommes pour la retourner contre eux, une fois de plus. Les gardes se reprirent rapidement et jaugeait Canarchy du regard, se demandant quel sale tour celui-ci leur préparait.

Après un rapide coup d'oeil, l'assassin sprinta vers les deux hommes, lames à la main et frappa en ciblant leurs têtes d'un coup d'estoc, qui fut paré par les deux boucliers. Il recula, vacilla et se retrouva un genou au sol et planta l'un de ses épées dans le sol, farfouilla rapidement dans sa cape et lachant un objet sphérique au sol. Les soldats regardèrent la sphère rouler à leur pied, et ils comprirent trop tard qu'il s'agissait d'une bombe fumigène : un nuage de fumée les enveloppa et ils ne voyaient plus rien. Le Capitaine Duril cria à son compagnon :


- Drick, reste sur tes gardes ! Tu ne sais pas quand il va attaquer, surveille tes arrières !

- Oui Capitaine, répondit l'homme.

Canarchy s'était suffisament éloigné pour ne pas être pris dans la purée de pois, et il s'élança, bondit en se servant de son épée planté queques secondes plus tôt dans le sol et s'enfonça dans le nuage. Il distinguait vaguement une silhouette, et il décida d'approcher à pas de loup, et une fois à quelques pas de sa cible, il distingua qu'elle lui tournait le dos. Il se plaqua contre le dos de l'épéiste, son bras sous le menton de l'homme et il effectua un geste vif avec son bras : ses priffes dechirèrent la gorge du malheureux qui tomba au sol en poussant des râles de douleur.

- Noooon ! Drick !

Lorsque la fumée se dissipa, le Capitaine Duril regarda la scène à laquelle il assistait : son second était étendu au sol, les mains crispées sur la gorge et déjà agonisant. Il comprit aussitôt que Drick était fichu, et sa fureur s'amplifia.

- Monstre ! Vous utilisez de tels procédés au combat... Je vais donner tout ce que j'ai pour voir votre tête rouler au sol !

- Cause toujours Papy, place à la jeunesse et aux idées nouvelles.

Duril chargea une nouvelle fois et d'un coup de pied dans son bouclier, Canarchy le fis reculer de quelques pas et se saisi de sa dague qu'il dirigea vers l'estomac de son adversaire deconcerté, mais le Capitaine anticipa l'attaque et la courte lame ne rencontra que le métal dur du bouclier. L'Assassin sauta en arrière et esquiva de peu la contre-attaque de l'homme, animé par l'énergie du desespoir. Aucun doute, son opposant était un combattant aguérri et il serait difficile de se créer une ouverture... A moins que...

Canarchy effectua quelque rapides pas de côtés et une fois le flanc de l'homme en vue, il fonça, sa dague toujours à la main. Alors qu'elle s'appretait à mordre la chair du Garde, il donna un puissant coup d'épée dans l'arme de l'assassin qui fut envoyé quelques mètres plus loins et tomba au sol piteusement. Canarchy frappa avec l'épée qu'il tenait dans l'autre main mais le bouclier du Capitaine arrêta son attaque. Deconcerté, il ouvrit grand les yeux en voyant la lame de Duril fendre l'air, il essaya de sortir de la trajectoire de l'attaque mais il fut toucher en plein estomac et se degagea en reculant. Une seconde plus tard, la main du soldat était levé dans les airs, à quelques secondes prêts, l'assassin aurait pu être éviscérer. Il frissona, tomba à genoux et cracha du sang.


- ça, c'est pour Drick.

Il reçu un puissant coup d'épée dans le dos, hurla de douleur et son crâne embrassa le sol. Il crispa la main sur le haut de son torse et marmonna quelques mots. Alors que le Capitaine Duril s'apprêtait à délivrer le coup de grâce, un halo d'une pure blancheur entoura l'assassin. Surpris, le Garde ecarquilla les yeux en voyant son ennemi se relevé dans la foulée, et alors que celui-ci était à une main de son visage, il le repoussa avec son bouclier. Le Capitaine senti son estomac le brûler et il baissa les yeux pour découvrir une fine blessure : l'assassin avait réussi à frapper après avoir récupérer et avant que le soldat le repousse.

L'Assassin cracha encore du sang, sa magie avait eu beau lui permettre une récupération rapide, il avait frôlé la mort de peu et avait joué gros sur ce coup. Il se doutait que s'il subissait une attaque, le Garde gagnerait en confiance et il savait qu'il pouvait utiliser sa magie blanche en cas de coup dur, mais il avait bien puisé dans ses réserves pour obtenir un résultat si rapide, et la fatigue du combat et du lancer du sort lui revinrent d'un coup. Il suffoqua, sa vision se troubla et il manqua de peu de s'évanouir, mais il se resaisit à temps.

Pendant se temps, le poison de la dague de Canarchy devorait lentement les entrailles de Duril qui s'était mis à genoux sur le sol, gemissant. Le travail était terminé, le poison le rongerait et dans moins d'une vingtaine de minutes, il serait mort.


- Dommage Capitaine, je ne voulais faire de mal à personne, si on exclu les crieurs huhu. Je n'avais rien contre vous, mais essayer de brider ma liberté et une chose que je ne pardonne pas.

- Vous êtes... Aaargh... la pire espèce d'individu qui soit. Un jour... Humph... les gardiens vous attreperons et vous passerez un sale quart d'heure, ils sont bien plus puissants que les simples gardes de ville que nous sommes...

- Et bien, nous verrons, d'ici peu je devrais bien en recontrer quelques uns. Je vous souhaite une bonne mort mon Capitaine ! Hahaha !

- Ordure... d'assassin...

Canarchy ris à ces mots et se detourna de son adversaire gisant au sol, il courut aussi vite qu'il le put avant que d'autres gardes arrive et trouva une ruelle sombre. Il s'y engagea et s'assura d'être à l'abri des regards. Alors la fatigue commençait à le gagner, il se bourra une pipe et décida de se reposer un peu avant d'éliminer les deux crieurs restants...
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Canarchy
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MessageSujet: Re: [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public   [Mission - Partie 1] Eliminer les crieurs public Icon_minitimeJeu 9 Juin - 11:12

[Fin d'après-mdi ~18h]

Canarchy ouvrit grand les yeux d'un coup. Il s'était endormis après avoir fumé sa pipe, détendu par l'effet de l'herbe mais également épuisé à cause des blessures qu'il avait encaissé. Avant de sombrer dans le sommeil, il avait etreint son talisman et, en marmonant une incantation, avait accelerer ses capacités de récupération, mais il se sentait vidé de ses reserves magiques, il devrait desormais faire plus attention. Du temps avait passé, le soleil avait stoppé son ascention .

Il se releva avec un grognement, la douleur subsistait encore un peu, il lui fallait s'échauffer. Il entama l'escalade d'une gouttière et se retrouva sur le toit : il y avait encore du monde qui déambulait dans la cité et il aperçut quelques patrouilles de gardes, sans doute que sa petite escarmouche avait eu pour conséquence de renforcer la garde...

Plongeant une main dans sa cape, l'assassin sortit la carte et repera les possibles zones restantes sur lesquelles il pourrait trouver ses deux dernières victimes... Il rangea la carte et s'élança sur le toit en serrant les dents. Il entrevit au loin un archer et auta sur un autre toit : un autre itinéraire était préferable à un combat inutile qui risquait d'attirer l'attention. A mesure qu'il avançait, il sentait la douleur s'estomper : la magie blanche était vraiment efficace, l'apprendre avait vraiment été une bonne idée. Decrispant sa machoire, il sprinta afin de se soustraire au regard des quelques archers sur les toits.

Après quelques instants de course, ses oreilles se tendirent et il s'arrêta... On l'entendait distinctement :

- Cette journée à été un marathon macabre pour notre ville. Un démon se balade en toute liberté, se défiant de l'ordre et de la loi, assassina veuves et enfants dans nos propes rues ! Et il n'est pas seul, on raconte qu'un ordre mysterieux sévit dans l'ombre et...

Canarchy s'était rapproché et s'était installé sur le toit du batiment sous lequel se tenait le Crieur. L'homme fut interrompu par un garde qui passait :

- Silence ! Vous cédez à la paranoïa l'ami ! Laissez la Garde de la ville faire son boulot et évitez les annonces vaseuses comme celles-ci, compris ?

- Oui Monsieur, lui répondit le héraut.

L'occasion était trop belle, et il ne pu s'en empêcher. L'Assassin se redressa de toute sa hauteur, posa un pied sur le bord du toit et se mit à rire, d'abord de façon presque inaudible puis de plus en plus fort, si bien que les gens en bas le remarquèrent, étonnés voir apeurés. Il se calma et cria à la foule béate :


- Et bien, vous n'avez jamais vu quelqu'un rire ? Serieusement, vos discours sont hilarants, mais je dois dire que je sui de l'avis du Crieur, et ou sont vos fidèles protecteurs ?

La patrouille de gardes, toujours présente sembla se raidir, et l'holle qui avait coupé court aux insinuations du héraut s'adressa à Canarchy :


- Vous ! Il n'y a pas de doutes possible, vous êtes celui qui a tué Duril ! Monstre, je vais vous faire payer !

- Commencez donc par venir me chercher là-haut.

- Archers, en position !

Sur les toits environants, des hommes se levèrent, arcs bandés et dirigés vers l'assassin. Ils décochèrent leurs flèches qui plongèrent telle une nué en direction de Canarchy.

L'Assassin se baissa et fit exploser une bombe fumigène à ses pied, libérant ainsi un grand nuage de fumée. Les hommes ne savaient pas s'ils avaient atteint leur cibles et tous restèrent en alerte, se preparant à faire feu de nouveau. Un objet sortit du nuage de fumée et se dirigea au sol, puis explosa devant le Crieur en laissant echapper un épais nuage gris foncé.

- Mes yeeeeeeuuuuuux ! Mes magnifiiiiiiques yeeeeuuuuux !

- Arg quel sale tour, c'est comme si mes yeux allaient exploser.

Canarchy sourit du haut des toits, arma un piège et le lança, il se declancha en rencontrant le sol, ajoutant au nuage une teinte violette. En plus des gemissements de la foule, les gens se mirent à tousser et à cracher, le poison du piège remplissait son office. Canarchy eut le temps de voir le Héraut tomber au sol et pour s'assurer du travail, le cribla d'un couteau de lancer dans le dos, juste dans le doute...

L'Assassin repris sa course, serra les dents et passa la main derrière son dos pour saisir la flèche qui l'avait touché un peu au-dessus de la hanche. Il tira d'un coup sec et lorsque la pointe sortit de son corps, il etouffa un hurlement de douleur pour le reduire à cri quelques peu retentissant...

Il se dirigea a présent vers son ultime cible, regrettant d'avoir été touché mais heureux de pouvoir maintenant en finir et passer à la suite, il avait hâte de s'attaquer au camp de gardien pour voir ce que valait de vrai guerriers et nos de simples gardes ramolis par la routine. Il était là, et ça allait se savoir.
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